30 novembre 2010
26 novembre 2010
25 novembre 2010
24 novembre 2010
20 novembre 2010
La valse des étiquettes suite...


19 novembre 2010
La valse des étiquettes suite...
il semblerait que Petit Bateau ait encore une usine à Troyes, mais sur les étiquettes des vêtements on trouve aussi beaucoup de made in Tunisia, made in Marocco et made in China, quand c'est indiqué ce qui n'est pas toujours le cas.
- on sait que Agnès b est réputée pour privilégier la fabrication française, mais on trouve aussi dans ses collections des vêtements fabriqués en Asie, Europe orientale ou dans les Pays Baltes. Cependant, l'origine est toujours indiquée sur les étiquettes. Chez la canadienne Tara Jarmon, si la plupart des modèles sont créés au bord du Canal Saint-Martin à Paris, dans le 10e, la majeure partie de la fabrication se passe aussi ailleurs.
18 novembre 2010
La valse des étiquettes
J'ai des pulls made in Spain, Bulgaria, Marocco, Indonesia, de la laine à tricoter from Turkey, l'un de mes jeans est dans la pure tradition, born in the USA, quand celui en coton bio est made in India. Un pantalon vient de Turquie quand l'autre avoue être "created with love, produce with passion, consume with desire (c'est l'étiquette qui le dit et cela n'engage qu'elle), especially made for you (j'en doute)" mais Où ? Nul ne le sait sauf peut-être cette femme qui s'est usée les mains à le fabriquer...
Dans le reste de l'armoire, on peut trouver des chemises de mon homme en provenance de Mauritius, une robe made in India et enfin (!) quelques tee-shirts made in China, mais attention, dessinés en France....
Finalement peu de production chinoise comme je l'imaginais, par contre aucun de mes vêtements n'aura été fabriqué ici !
ET VOUS, ELLES DISENT QUOI VOS ÉTIQUETTES ?
Lorsque j'interroge une grande marque dont l'ancien fondateur se targue de créer des réserves de biodiversité en Amérique du Sud, sur le lieu où sont produits leur vêtement (les anonymes, vous vous souvenez ?), pas de réponse.
Ce constat me navre d'autant plus que j'ai rencontré récemment des couturières en reconversion, ces femmes, toutes originaires du Nord, le plus gros bassin du textile français, possèdent un savoir-faire extraordinaire, qu'elles sont toujours prêtes à partager, mais dont personne ne veut plus car passées 50 ans, elles sont trop âgées, donc trop chères. Il faut savoir que depuis 2006, en France, chaque année, plus de 400 entreprises du textile sont défaillantes (un euphémisme pour parler de faillites et de licenciements) .
Aujourd'hui, on mange local, on voyage équitable, on se chauffe renouvelable... Alors pourquoi on s'habille n'importe comment ?
Est-ce qu'il existe encore des entreprises qui fabriquent des vêtements près de chez vous ?
* j'ignore s'il est obligatoire d'afficher l'origine de la fabrication pour les textiles
17 novembre 2010
05 novembre 2010
Inscription à :
Articles (Atom)